The Blood of Dawnwalker : 20 minutes de gameplay pour mordre dans l’action

The Blood of Dawnwalker s’est récemment dévoilé dans une longue séquence de gameplay de plus de 20 minutes, révélant un action-RPG sombre et ambitieux signé Rebel Wolves, le studio fondé par l’ancien réalisateur de The Witcher 3.
Le jeu nous plonge dans Vale Sangora, un monde gothique inspiré de l’Europe du XIVe siècle, où l’on incarne Coen, un être mi-humain, mi-vampire. Le gameplay repose sur une dualité jour/nuit : le jour, Coen manie l’épée avec précision dans des combats tactiques à la Kingdom Come: Deliverance ; la nuit, il libère sa nature vampirique, gagne en agilité, grimpe aux murs, se téléporte et utilise des griffes pour des affrontements plus nerveux.
Lors de sa récente présentation, The Blood of Dawnwalker s’est illustré à travers un livestream riche en révélations. Rebel Wolves y a détaillé plusieurs piliers de l’expérience de jeu : exploration libre, combat directionnel, système magique, et surtout, capacités vampiriques inédites portées par le protagoniste Coen.
L’accent a été mis sur la liberté stratégique laissée aux joueurs pour résoudre les quêtes, avec des conséquences directes sur le récit, influencées par l’alternance entre le jour et la nuit. Cette dualité promet une narration évolutive, profondément ancrée dans les choix de gameplay.
Le jeu est attendu pour 2026 sur Steam.
Les images de la dernière bande-annonce de The Blood of Dawnwalker, capturées sur PC à partir d’une version pré-bêta, reflètent fidèlement l’état actuel du jeu. Aucun traitement post-capture n’a été appliqué, conformément à l’engagement de Rebel Wolves pour une communication transparente sur l’évolution du projet.
Au cœur de cette aventure sombre se trouve Vale Sangora, un monde gothique et ouvert où les choix du joueur façonnent le destin de Coen, mi-humain, mi-vampire. Présentée lors du livestream de gameplay, cette région regorge de marécages, de montagnes escarpées, de ruines oubliées et de grottes inquiétantes.
La ville de Svartrau, plus grande cité de la région, incarne la dualité du jeu : animée et médiévale le jour, elle révèle la nuit les rouages d’un régime vampirique. Les habitants y réagissent aux décisions du joueur, renforçant l’immersion dans ce bac à sable narratif.
Dans The Blood of Dawnwalker, les joueurs incarnent Coen, un Pénombral tiraillé entre son humanité et sa nature vampirique. Le jour, il manie l’épée avec précision et active des runes magiques gravées dans sa chair, offrant un gameplay tactique et cinématographique basé sur un système de combat directionnel. Chaque affrontement exige observation, timing et exécution chirurgicale.
Mais à la nuit tombée, Coen libère ses instincts surnaturels : griffes vampiriques, Foulée de l’ombre pour bondir de toit en toit, et une agilité décuplée transforment le gameplay en une danse létale. Cette dualité enrichit l’expérience, alternant entre stratégie méthodique et frénésie nocturne.
La soif de sang constitue un autre pilier du jeu. Plus la nuit avance, plus la faim de Coen devient incontrôlable. Les joueurs doivent choisir comment l’apaiser : en buvant le sang d’ennemis, d’animaux, voire d’innocents, ou en utilisant des fioles spéciales. Ignorer cette faim affaiblit Coen… et peut même provoquer des pertes tragiques dans l’histoire, si la bête prend le dessus.