TOHU est un petit poin’n’click avec de nombreux puzzles et un univers bien à lui.

Une histoire relativement simple…

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Alors que nous découvrons le monde des planètes-poissons, il se trouve qu’une énigmatique personne détruit le moteur sacré alimentant notre planète-poisson. Nous allons donc incarner une jeune fille partant à l’aventure pour réparer ce moteur sacré, en voyageant vers d’autres planètes-poissons accompagnée de son alter ego mécanique, Cubus.

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Du puzzle à gogo !

Chaque planète visitée accueille son lot de puzzles et d’énigmes. Et afin de varier un peu plus les plaisirs, il faut, parfois, se métamorphoser en Cubus afin d’avancer. En effet, la fillette vous sera fort utile très souvent avec son agilité mais lorsqu’il s’agit de porter des objets lourds Cubus est essentiel.

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La diversité des puzzles est présente bien que la difficulté ne soit pas réellement au rendez-vous… Au-delà de la cellule grise, votre dextérité sera aussi mise à l’épreuve dans ses puzzles. Du canon à taupe au labyrinthe en passant par l’épreuve des miroirs. Bref ça réinvente pas le genre mais ça fait plutôt bien le travail.

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Un univers avant tout.

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Si le jeu ne se démarque pas réellement par son gameplay, c’est par son univers qu’il fait la différence. Et comment ne pas être séduit ? Chaque planète, crée à la main, est habitée par une multitude de créatures avec des animations et sons spécifiques donnant un réel plus à chacun des environnements visités.

Chaque planète-poisson est composé de un à trois écrans avec à chaque fois des visuels de toute beauté fourmillant de détails. Et quoi de mieux pour sublimer d’aussi jolis décors qu’une magnifique bande son ? Et là encore rien à redire avec Christopher Larkin (on lui doit la musique de Hollow Knight) illustrant avec perfection chaque scène de TOHU.

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